Avocat au Barreau de Paris
Maître de conférences des Universités
Spécialiste en droit de la propriété intellectuelle
Spécialiste en droit du numérique et des communications
Le Point Pop – 16 juillet 2023
Par Julien Dupuy
100 ans de Disney : Mickey Mouse, la souris mythique bientôt libre de droits !
SoFilm – 6 juillet 2023
Par Pierre Charpilloz (« Netflix a volé toutes mes idées »)
« Disparition de la série Final Space : quand les histoires de gros sous écrasent la culture »
Point de Vue 18 août 2021
par Angélique d’Erceville
Télérama 28 mars 2020
Pourquoi Canal+ ne peut-il pas rester en clair ?
par Emilie Gavoille (Extrait)
« C’est décidé : Canal+ ne poursuivra pas sa diffusion totalement gratuite après le 31 mars. Si elle en étonne certains, cette décision s’avère nécessaire pour préserver l’équilibre du secteur.
Nos explications.
Qui avait le plus à perdre ?
D’abord, les chaînes gratuites. Déjà fortement affectées par l’effondrement des recettes publicitaires par temps de coronavirus, elles ont craint de voir leurs téléspectateurs habituels filer sur Canal, sans espoir de retour. L’avocat Benjamin Montels, spécialiste du droit d’auteur, prend l’exemple de la série Une belle histoire, sur France 2, « qui a totalement dévissé » mercredi 18 mars, lors de sa deuxième semaine de
diffusion, face au film Venise n’est pas en Italie, programmé sur Canal+. Pour les diffuseurs privés comme TF1 et M6, qui tirent une bonne partie de leurs recettes des revenus publicitaires, la fuite du public est périlleuse : ce sont les scores d’audience qui servent à fixer les tarifs des spots. »